George Mallory et Andrew Irvine sont-ils les premiers à avoir atteint le sommet de l’Everest en 1924? Seul le Kodak avec lequel ils devaient se photographier sur le toit du monde pourrait livrer la vérité. Septante ans plus tard, Fukamachi, jeune reporter japonais, pense reconnaître cet appareil entre les mains de Habu Jôji, grimpeur que l’on pensait disparu depuis des années.
Le Sommet des Dieux nous livre une aventure vertigineuse sur le toit du monde; on suit l'enquête du jeune reporter Fukamachi et on découvre le parcours tragique d'Habu, grimpeur renommé en quête de rédemption.
Un véritable chef d'oeuvre; je suis resté scotché sur mon siège durant les nonante minutes de ce film d'animation. J'ai tout adoré: l'histoire profonde et marquée par l'appel viscéral des sommets, les paysages à couper le souffre, les moments contemplatifs, la patte graphique, l'ambiance musicale à la fois discrète et prenante, la montagne magnifique et cruelle. Vraiment pour moi le meilleur film d'animation du festival, jusqu'ici.
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