Knight au coeur des ténèbres est un jeu apocalyptique de Coline Pignat et Simon Cabillaud, auteurs déjà connus pour Téocali.
Dans un monde dévasté par les ténèbres de l'Anathème, les joueurs/euses incarneront des chevaliers du Knight, rassemblés autour d'Arthur et de Merlin. Équipés de méta-armures de haute technologie et armés de leur seul courage, les membres du Knight feront face aux horreurs d'un monde en ruines. Ils sont le dernier espoir de l'humanité.
Knight revisite le mythe arthurien et vous invitent à incarner ces nouveaux chevaliers de la Table Ronde.
Je ne possède pas (encore) le livre de jeu; cette critique est faite à partir du kit d'initiation disponible gratuitement sur le site des auteurs. Ce kit est un PDF de 44 pages, en couleur. Il présente succinctement le cadre de jeu et les bases des règles. S'en suit un scénario d'une petite dizaine de pages permettant de faire ses premiers pas dans le monde sombre de Knight.
En plus d'un scénario, le kit propose cinq personnages prétirés, cinq méta-armures et cinq sets d'équipement à se répartir.
Chaque personnage est présenté avec son background et ses caractéristiques.
Chaque armure est également décrite en détails: avantages, illustration, caractéristiques techniques. Les sets d'équipement regroupent des armes et des modules pour équiper vos chevaliers.
Le kit d’initiation donne une bonne idée du jeu et permet de déjà vivre une aventure certes assez classique mais complète et qui permet d'en savoir un peu plus sur l'univers apocalyptique de Knight. Le système de jeu baptisé combo tourne avec des dés à six faces et fonctionne autour d'associations de caractéristiques (combo) intuitives et flexibles. Je n'ai pas encore testé le jeu mais on sent le souci des auteurs de garantir une certaine simplicité dans les règles de jeu. La complexité vient à mon avis des multiples possibilités que les joueurs devront explorer pour tirer le maximum de leur armure et de leur équipement.
Les armures sont une manière de typer les personnages: chaque armure est dédiée à un type d'action spécifique et porte d'ailleurs des noms évocateurs: Warrior, Priest, Warmaster, Barbarian, Rogue. C'est voulu et tout à fait assumé dans le jeu. On retrouve en filigrane les archétypes du guerrier, du prêtre, du magicien, du barbare et du voleur. Pour ma part, je trouve que c'est assez bien trouvé.
Cerise sur le gâteau, la méta-armure offre non seulement une protection et des armes à son porteur mais elle est aussi dotée d'une IA qui assure au chevalier un contrôle optimal de son armure.
A mi-chemin entre le mythe arthurien, Destiny, Iron Man et Warhammer 40.000, Knight est un jeu de rôle qui propose un cadre de jeu original et des règles à la fois innovantes et simples; c'est du moins ce qui transparaît à la lecture de ce kit d'initiation. Le livre de jeu (environ 400 pages) est édité chez Orygins.
Knight revisite le mythe arthurien et vous invitent à incarner ces nouveaux chevaliers de la Table Ronde.
Je ne possède pas (encore) le livre de jeu; cette critique est faite à partir du kit d'initiation disponible gratuitement sur le site des auteurs. Ce kit est un PDF de 44 pages, en couleur. Il présente succinctement le cadre de jeu et les bases des règles. S'en suit un scénario d'une petite dizaine de pages permettant de faire ses premiers pas dans le monde sombre de Knight.
En plus d'un scénario, le kit propose cinq personnages prétirés, cinq méta-armures et cinq sets d'équipement à se répartir.
Chaque personnage est présenté avec son background et ses caractéristiques.
Chaque armure est également décrite en détails: avantages, illustration, caractéristiques techniques. Les sets d'équipement regroupent des armes et des modules pour équiper vos chevaliers.
Le kit d’initiation donne une bonne idée du jeu et permet de déjà vivre une aventure certes assez classique mais complète et qui permet d'en savoir un peu plus sur l'univers apocalyptique de Knight. Le système de jeu baptisé combo tourne avec des dés à six faces et fonctionne autour d'associations de caractéristiques (combo) intuitives et flexibles. Je n'ai pas encore testé le jeu mais on sent le souci des auteurs de garantir une certaine simplicité dans les règles de jeu. La complexité vient à mon avis des multiples possibilités que les joueurs devront explorer pour tirer le maximum de leur armure et de leur équipement.
Les armures sont une manière de typer les personnages: chaque armure est dédiée à un type d'action spécifique et porte d'ailleurs des noms évocateurs: Warrior, Priest, Warmaster, Barbarian, Rogue. C'est voulu et tout à fait assumé dans le jeu. On retrouve en filigrane les archétypes du guerrier, du prêtre, du magicien, du barbare et du voleur. Pour ma part, je trouve que c'est assez bien trouvé.
Cerise sur le gâteau, la méta-armure offre non seulement une protection et des armes à son porteur mais elle est aussi dotée d'une IA qui assure au chevalier un contrôle optimal de son armure.
A mi-chemin entre le mythe arthurien, Destiny, Iron Man et Warhammer 40.000, Knight est un jeu de rôle qui propose un cadre de jeu original et des règles à la fois innovantes et simples; c'est du moins ce qui transparaît à la lecture de ce kit d'initiation. Le livre de jeu (environ 400 pages) est édité chez Orygins.