Privé de son puissant marteau, Thor est retenu prisonnier sur une lointaine planète aux confins de l’univers. Pour sauver Asgard, il va devoir lutter contre le temps afin d’empêcher l’impitoyable Hela, sa sœur aînée et déesse de la Mort, d’accomplir le Ragnarök, la destruction de son monde et la fin de la civilisation asgardienne. Mais pour y parvenir, il va d’abord devoir mener un combat titanesque de gladiateurs contre celui qui était autrefois son allié au sein des Avengers: l’incroyable Hulk.
Thor: Ragnarok est le troisième opus de la saga.
Après un premier film assez ordinaire et un second chapitre pas vraiment à la hauteur, j'avais quelques appréhensions concernant ce troisième épisode.
La bande annonce laissait entrevoir un truc un peu foutraque et pas trop bien ficelé. Bref, je n'étais pas vraiment impatient de voir ce Thor: Ragnarok.
Et j'avais tort (désolé pour le jeu de mots; je n'ai pas pu résister).
Après un premier film assez ordinaire et un second chapitre pas vraiment à la hauteur, j'avais quelques appréhensions concernant ce troisième épisode.
La bande annonce laissait entrevoir un truc un peu foutraque et pas trop bien ficelé. Bref, je n'étais pas vraiment impatient de voir ce Thor: Ragnarok.
Et j'avais tort (désolé pour le jeu de mots; je n'ai pas pu résister).
Alors oui, Ragnarok est un film foutraque. Et oui l'intrigue ressemble à un scénario de jeu de rôle qui serait parti en sucette. Et c'est peut-être ça qui en fait tout le charme.
L'histoire est simple mais efficace. Les héros ne se prennent absolument pas au sérieux; même les méchants font de l'humour. Ça part dans tous les sens, sans se prendre la tête ou plutôt tête la première. C'est haut en couleurs, plein de rebondissements et de péripéties, sans compter la palanquée de personnages secondaires désopilants ou juste attachants. J'ai adoré le Grand Maître campé par un Jeff Goldblum désinvolte ou encore Skurge, le sous-fifre d'Hela, lâche mais pas trop, interprété par Karl Urban. Korg, l'homme de pierre, grosse brute sensible, est vraiment excellent lui aussi.
L'histoire est simple mais efficace. Les héros ne se prennent absolument pas au sérieux; même les méchants font de l'humour. Ça part dans tous les sens, sans se prendre la tête ou plutôt tête la première. C'est haut en couleurs, plein de rebondissements et de péripéties, sans compter la palanquée de personnages secondaires désopilants ou juste attachants. J'ai adoré le Grand Maître campé par un Jeff Goldblum désinvolte ou encore Skurge, le sous-fifre d'Hela, lâche mais pas trop, interprété par Karl Urban. Korg, l'homme de pierre, grosse brute sensible, est vraiment excellent lui aussi.
J'ai retrouvé dans ce Thor: Ragnarok le feeling des Gardiens de la Galaxie: une aventure débridée, pleine d'actions et d'humour décalé et au final un héros, Thor, qui trouve sa vraie place dans le panthéon asgardienne. Sans oublier une bande son très bien choisie et qui porte bien l'action.
Un film surprenant, à voir sans a-priori, pour un moment de détente tout simplement.
Un film surprenant, à voir sans a-priori, pour un moment de détente tout simplement.