Dans une Amérique rongée par une criminalité débridée et des prisons surpeuplées, le gouvernement a donné son accord pour qu’une fois par an, pendant 12 heures, toutes activités criminelles, meurtres inclus, soient légalisées. La police ne peut intervenir. Les hôpitaux suspendent leurs services. Une nuit durant, les citoyens sont à même de définir leurs propres règles et de faire leur propre loi, sans avoir à craindre de sanctions. Au cours d’une telle nuit hantée par la violence et le crime, une famille va devoir faire un choix – bourreau ou victime? – face à un inconnu venu frapper à sa porte.
Dystopie ultra violente sur le thème d'une société parfaite sauf une nuit par an durant laquelle tous les crimes sont permis et les aspects les plus violents de l'être humain se déchaînent dans les rues.
Une fois par an, c'est la nuit de la Purge.
Une fois par an, c'est la nuit de la Purge.
Le premier opus de la série American Nightmare met en scène une famille américaine aisée qui va se retrouver face à l'horrible réalité du massacre et va devoir faire un choix entre la survie et la moral. Des deux films de la franchise, c'est sans aucun doute le plus réussi quant au déferlement de violence et les dilemmes moraux qui en résultent; les protagonistes sont constamment tiraillés entre la nécessité de la survie, la légitimité apparente de la violence et le sentiment inné du bien et du mal.
Le second opus tient plus du survival avec un groupe traqué par des gangs plus dégénérés les uns que les autres. Les scènes d'action y sont plus nombreuses, un peu au détriment de la tension morale bien plus présente dans le premier numéro de la série.
Côté jeu de rôle, on est proche de l'ambiance sinistre et violente de SLA Industries; le thème de la Purge dans un univers dystopique se prête bien au format one-shot.
Le second opus tient plus du survival avec un groupe traqué par des gangs plus dégénérés les uns que les autres. Les scènes d'action y sont plus nombreuses, un peu au détriment de la tension morale bien plus présente dans le premier numéro de la série.
Côté jeu de rôle, on est proche de l'ambiance sinistre et violente de SLA Industries; le thème de la Purge dans un univers dystopique se prête bien au format one-shot.
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