vendredi 12 août 2016

Kingdom of War

Chine, IIe siècle avant JC. Les royaumes en guerre combattent sans relâche. À la mort de son père, la princesse Yen Feier accède au trône et prend la tête de l'armée pour défendre le royaume. Mais c'est sans compter son cousin Wu Ba qui a prévu son assassinat et l'usurpation du pouvoir. Rescapée de l'attaque, la princesse est recueillie par un ermite énigmatique qui l'aidera dans sa lutte et lui montrera la vraie valeur de la vie.
De retour dans son royaume en proie à la guerre civile depuis sa disparition (et sa prétendue mort), elle est contrainte de prendre la tête des derniers guerriers qui lui sont restés fidèles pour défaire son cousin félon et reconquérir son trône.

Le Royaume des Guerriers m'a laissé l'impression d'un conte, une histoire de princesse courageuse en proie à la trahison et à la malveillance du méchant de service, en l’occurrence son cousin envieux.
Elle sera sauvée d'une tentative d'assassinat et recueillie par un ermite qui lui enseignera la simplicité et la vraie valeur de la vie; elle tombera amoureuse de son sauveur qui s’avérera être un ancien guerrier, dernier survivant d'une congrégation jadis crainte. De retour dans son royaume, elle ne pourra compter que sur la bravoure de son frère adoptif et d'une poignée de soldats restés fidèles. Et comme attendu, le méchant périra, balayé par le courage de la jeune et téméraire princesse.
Un vrai conte de fées avec un happy end sans grande surprise. De belles scènes de batailles et une bonne réalisation, malgré une histoire cousue de fils blancs et très prévisible. Comme on dit chez nous, ça se laisse regarder.

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