Après un tragique accident de voiture où elle perd ses parents, Okko est recueillie par sa grand-mère dans son auberge de province, habitée par de jeunes fantômes bienveillants. Elle va apprendre que c’est en prenant soin des autres que l’on guérit de ses propres douleurs.
Toujours dans la cadre du festival Anima, j'ai vu cet après-midi l'animé Okko et les Fantômes, de Kitaro Kosada. Je suis toujours surpris de la finesse avec laquelle les auteurs japonais arrivent à traiter de sujets graves comme la mort de proches et la résilience des survivants; c'est une fois de plus le cas avec Okko, une histoire qui alterne entre tragédie, moments drôles, émotions, pleurs aussi et courage surtout. Une oeuvre tout en délicatesse et en poésie, qui m'a mis la larme à l’œil je dois l'avouer. A ne pas rater.
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